Pourquoi le diazote devient-il un facteur de risque en plongée subaquatique , quels sont ses effets sur l’organisme, et comment peut on y remédier ?
Lors d’une interview à Cannes en 1997, Luc Besson, réalisateur du film ‘Le Grand Bleu’, lance : «Les gens fuient par divers moyens : certains prennent un verre, une ou deux bouteilles, ou une bouteille de plongée ». Car si l’homme cherche un lieu pour se réfugier, ce sera bien en mer qu’il le trouvera, bercé par le paisible contact de l’eau. Mais le ‘monde du silence’ réserve bien des surprises : une biosphère richissime mais mystérieuse à la fois, un silence enivrant, un sentiment d’apesanteur.
C’est bien pour cela que la plongée sous-marine se démocratise. Ce sport ouvre désormais ses portes aux moins expérimentés. Ainsi en 2007, 260 000 personnes le pratiquaient au titre de loisir estival selon la Fédération Française d’Études et de Sports Sous-Marins (FFESSM). Ce nombre est en augmentation constante. C’est pour répondre à ce nouvel afflux que l’État a mis en place 4 niveaux de plongée qui repoussent chacun les limites fixées dans le précédent, notamment la profondeur, mais aussi l’autonomie du plongeur. Un équipement spécifique à ce sport est également nécessaire, ici on s’intéressera à la plongée sous-marine en grandes profondeurs. Le plongeur porte alors un scaphandre autonome constitué d’une combinaison isothermique qui lui permet de maintenir une température corporelle suffisante, de palmes et de lestage pour assurer une certaine aisance dans le déplacement, d’un masque pour garantir une visibilité correcte, et de bouteilles de plongée contenant du gaz sous pression acheminé vers les poumons du plongeur via un détendeur lui donnant une plus grande autonomie.
En effet, c’est pour protéger les usagers qu’un tel système est mis en place. Car la plongée constitue également un sport à hauts risques. À diverses profondeurs surviennent divers types d’accidents tels que les barotraumatismes ou d’autres plus obscures tel l’ivresse des profondeurs. Sur ce point, les scientifiques s’accordent à dire que ces maux sont pour la majorité issus de la respiration de diazote (gaz inclus dans l’atmosphère terrestre et dans une grande part des bouteilles de plongée utilisées à ce jour). Il serait ainsi extrêmement intéressant d’étudier pourquoi le diazote deviendrait un facteur de risque lors d’une plongée sous-marine alors qu’il est présent à 78% dans l’atmosphère que nous respirons actuellement. On pourrait alors imaginer comment prévenir ces risques en établissant un lien avec les techniques déjà mises en place par les professionnels. On voit dès lors une question se profiler : Pourquoi le diazote devient-il un facteur de risque en plongée subaquatique, quels sont ses effets sur l’organisme, et comment peut-on y remédier ?
Pour y répondre, il conviendra tout d’abord de définir les notions fondamentales qui concernent les spécificités des milieux sous-marins. Dans un second temps, il sera ainsi nécessaire d’aborder les maux qu’engendre le diazote en réutilisant les notions précédemment acquises. Enfin, on pourra expliquer les mesures de sécurité employées par les professionnels.
C’est bien pour cela que la plongée sous-marine se démocratise. Ce sport ouvre désormais ses portes aux moins expérimentés. Ainsi en 2007, 260 000 personnes le pratiquaient au titre de loisir estival selon la Fédération Française d’Études et de Sports Sous-Marins (FFESSM). Ce nombre est en augmentation constante. C’est pour répondre à ce nouvel afflux que l’État a mis en place 4 niveaux de plongée qui repoussent chacun les limites fixées dans le précédent, notamment la profondeur, mais aussi l’autonomie du plongeur. Un équipement spécifique à ce sport est également nécessaire, ici on s’intéressera à la plongée sous-marine en grandes profondeurs. Le plongeur porte alors un scaphandre autonome constitué d’une combinaison isothermique qui lui permet de maintenir une température corporelle suffisante, de palmes et de lestage pour assurer une certaine aisance dans le déplacement, d’un masque pour garantir une visibilité correcte, et de bouteilles de plongée contenant du gaz sous pression acheminé vers les poumons du plongeur via un détendeur lui donnant une plus grande autonomie.
En effet, c’est pour protéger les usagers qu’un tel système est mis en place. Car la plongée constitue également un sport à hauts risques. À diverses profondeurs surviennent divers types d’accidents tels que les barotraumatismes ou d’autres plus obscures tel l’ivresse des profondeurs. Sur ce point, les scientifiques s’accordent à dire que ces maux sont pour la majorité issus de la respiration de diazote (gaz inclus dans l’atmosphère terrestre et dans une grande part des bouteilles de plongée utilisées à ce jour). Il serait ainsi extrêmement intéressant d’étudier pourquoi le diazote deviendrait un facteur de risque lors d’une plongée sous-marine alors qu’il est présent à 78% dans l’atmosphère que nous respirons actuellement. On pourrait alors imaginer comment prévenir ces risques en établissant un lien avec les techniques déjà mises en place par les professionnels. On voit dès lors une question se profiler : Pourquoi le diazote devient-il un facteur de risque en plongée subaquatique, quels sont ses effets sur l’organisme, et comment peut-on y remédier ?
Pour y répondre, il conviendra tout d’abord de définir les notions fondamentales qui concernent les spécificités des milieux sous-marins. Dans un second temps, il sera ainsi nécessaire d’aborder les maux qu’engendre le diazote en réutilisant les notions précédemment acquises. Enfin, on pourra expliquer les mesures de sécurité employées par les professionnels.
Remerciements
Nous souhaitons remercier particulièrement M. Gardette, directeur scientifique de la COMEX, M. Rostain, neurobiologiste et directeur de recherche au Centre de Recherche en Neurobiologie et Neurophysiologie de Marseille, et Mme. Gauthier, monitrice de plongée, qui nous ont accorder leur temps pour nous permettre de réaliser des interviews. Nous remercions aussi M. Jeuland et M. Bortolussi , qui nous ont encadrés lors de ces T.P.E, particulièrement lors de l'expérience impliquant la cloche sous-vide.
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